SMODE enflamme la tournée mondiale de Phoenix !

Pour la promotion de leur dernier album Alpha Zulu, le contenu vidéo de la tournée a été orchestré par Vincent Leroy – programmeur et opérateur SMODE sur la tournée – et Pierre Claude, designer lumière, scénographe et opérateur GrandMA sur cette tournée, ainsi que pour d’autres groupes légendaires tels que The Strokes, AIR ou encore Gesaffelstein.

Conçu pour répondre aux exigences des productions live modernes, SMODE a été choisi pour mettre en œuvre le projet scénique, permettant de mixer les différents types de contenus, séquences visuelles, illusions d’optique et autres effets 3D impressionnants.

Pour la promotion de leur dernier album Alpha Zulu, le contenu vidéo de la tournée a été orchestré par Vincent Leroy – programmeur et opérateur SMODE sur la tournée – et Pierre Claude, designer lumière, scénographe et opérateur GrandMA sur cette tournée, ainsi que pour d’autres groupes légendaires tels que The Strokes, AIR ou encore Gesaffelstein.

Conçu pour répondre aux exigences des productions live modernes, SMODE a été choisi pour mettre en œuvre le projet scénique, permettant de mixer les différents types de contenus, séquences visuelles, illusions d’optique et autres effets 3D impressionnants.

La phase de conception visuelle du spectacle a débuté en janvier 2022, lorsque l’équipe créative a testé un certain nombre d’idées pour aboutir au concept final en accord avec l’univers artistique du groupe.

La configuration scénique initiale, comprenant un mur LED de 14 x 8 mètres flanqué de trois autres cadres LED de tailles croissantes et répartis sur une profondeur de 10 mètres, devait pouvoir s’adapter aux différentes spécificités des lieux accueillant la tournée.

« Nous avons débuté la tournée [en mai 2022] avec cinq dates sur des scènes complètement différentes, y compris des festivals de différentes tailles. Pour certaines dates, il était difficile d’intégrer la scénographie complète dans l’espace scénique disponible », explique Vincent, « nous avons rapidement compris qu’il nous faudrait avoir le maximum de flexibilité quant à la gestion du contenu, ce qui nous a amené à SMODE ».

En effet, pour cette tournée qui s’étend sur plus de deux ans, la scénographie a dû s’adapter aux différents types et tailles de scènes, qui imposaient différentes dimensions d’écrans LED, mais également pour pouvoir intégrer les nouvelles idées fréquemment proposées par le groupe.

Vincent Leroy a donc encodé l’architecture du show ainsi que la composition des éléments graphiques pour chaque séquence visuelle dans SMODE, lui permettant d’adapter automatiquement le contenu visuel. En quelques clics, et selon la configuration demandée, il peut ainsi passer d’une version à l’autre de la scénographie, tout en restant dans le même show SMODE.

La phase de conception visuelle du spectacle a débuté en janvier 2022, lorsque l’équipe créative a testé un certain nombre d’idées pour aboutir au concept final en accord avec l’univers artistique du groupe.

La configuration scénique initiale, comprenant un mur LED de 14 x 8 mètres flanqué de trois autres cadres LED de tailles croissantes et répartis sur une profondeur de 10 mètres, devait pouvoir s’adapter aux différentes spécificités des lieux accueillant la tournée.

« Nous avons débuté la tournée [en mai 2022] avec cinq dates sur des scènes complètement différentes, y compris des festivals de différentes tailles. Pour certaines dates, il était difficile d’intégrer la scénographie complète dans l’espace scénique disponible », explique Vincent, « nous avons rapidement compris qu’il nous faudrait avoir le maximum de flexibilité quant à la gestion du contenu, ce qui nous a amené à SMODE ».

En effet, pour cette tournée qui s’étend sur plus de deux ans, la scénographie a dû s’adapter aux différents types et tailles de scènes, qui imposaient différentes dimensions d’écrans LED, mais également pour pouvoir intégrer les nouvelles idées fréquemment proposées par le groupe.

Vincent Leroy a donc encodé l’architecture du show ainsi que la composition des éléments graphiques pour chaque séquence visuelle dans SMODE, lui permettant d’adapter automatiquement le contenu visuel. En quelques clics, et selon la configuration demandée, il peut ainsi passer d’une version à l’autre de la scénographie, tout en restant dans le même show SMODE.

Il confirme qu’il aurait été tout simplement impossible d’être aussi flexible sans un média serveur doté d’un moteur de compositing en temps réel tel que SMODE : « Sur certaines dates par exemple, on ne pouvait pas installer les cadres LED devant l’écran de fond de scène, je les ai donc simulés en trompe l’œil sur ce dernier. En effet, les graphismes ont été pensés avec l’utilisation des cadres LED, qui créent une profondeur d’image et une perspective. »

Un cadre vidéo ayant à la fois des bords internes et externes, on ne peut pas se contenter d’étirer le contenu pour remplir toute la zone, ce que Vincent à découvert une fois confronté au problème : « Les graphismes ont été pensés pour que les bords internes aient une signification esthétique, et il faut donc les faire correspondre aux bords internes des écrans. Et pour les bords extérieurs, j’utilise différentes techniques suivant les tableaux ». Dans un cas, les cadres sont découpés en plusieurs zones étirées individuellement ; dans d’autres, il fait un miroir sur les bords extérieurs pour remplir toute la surface. Autant d’adaptations facilitées par SMODE.

Il confirme qu’il aurait été tout simplement impossible d’être aussi flexible sans un média serveur doté d’un moteur de compositing en temps réel tel que SMODE : « Sur certaines dates par exemple, on ne pouvait pas installer les cadres LED devant l’écran de fond de scène, je les ai donc simulés en trompe l’œil sur ce dernier. En effet, les graphismes ont été pensés avec l’utilisation des cadres LED, qui créent une profondeur d’image et une perspective. »

Un cadre vidéo ayant à la fois des bords internes et externes, on ne peut pas se contenter d’étirer le contenu pour remplir toute la zone, ce que Vincent à découvert une fois confronté au problème : « Les graphismes ont été pensés pour que les bords internes aient une signification esthétique, et il faut donc les faire correspondre aux bords internes des écrans. Et pour les bords extérieurs, j’utilise différentes techniques suivant les tableaux ». Dans un cas, les cadres sont découpés en plusieurs zones étirées individuellement ; dans d’autres, il fait un miroir sur les bords extérieurs pour remplir toute la surface. Autant d’adaptations facilitées par SMODE.

Deux serveurs SMODE sont utilisés pour cette tournée : un principal et un de secours. Vincent fait un usage intensif des fonctionnalités de SmodeNET, qui permet à plusieurs opérateurs de travailler en même temps de manière collaborative : toutes les modifications sont synchronisées entre les serveurs en temps réel, Vincent peut travailler un morceau en prévisualisation sur le serveur de secours tandis que Pierre peut visualiser un autre morceau sur scène depuis le pupitre d’éclairage via le serveur principal. « Cette double restitution facilite le travail, en particulier lorsque le timing est serré », ajoute-t-il.

« Le spectacle de Phoenix évolue quotidiennement et je n’aurais pas pu me lancer dans cette aventure et maintenir un show aussi flexible sans SMODE », conclut Vincent. « La liberté offerte par le média serveur SMODE m’a permis de restituer une expérience visuelle à la hauteur de la créativité du groupe, au rythme et à l’ambiance de la musique, pour offrir un spectacle mémorable au public ».

Credits photo: © Christian Bertrand

 

Media: 

TPI Magazine

Installation

Lightsound journal

Deux serveurs SMODE sont utilisés pour cette tournée : un principal et un de secours. Vincent fait un usage intensif des fonctionnalités de SmodeNET, qui permet à plusieurs opérateurs de travailler en même temps de manière collaborative : toutes les modifications sont synchronisées entre les serveurs en temps réel, Vincent peut travailler un morceau en prévisualisation sur le serveur de secours tandis que Pierre peut visualiser un autre morceau sur scène depuis le pupitre d’éclairage via le serveur principal. « Cette double restitution facilite le travail, en particulier lorsque le timing est serré », ajoute-t-il.

« Le spectacle de Phoenix évolue quotidiennement et je n’aurais pas pu me lancer dans cette aventure et maintenir un show aussi flexible sans SMODE », conclut Vincent. « La liberté offerte par le média serveur SMODE m’a permis de restituer une expérience visuelle à la hauteur de la créativité du groupe, au rythme et à l’ambiance de la musique, pour offrir un spectacle mémorable au public ».

Credits photo: © Christian Bertrand

 

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